La story Swile ?
ACC – Au départ on s’appelait Lunchr mais nous sommes devenus « Swile », parce que nous adressons désormais tous les moments de vie des collaborateurs, du matin jusqu’au soir, et non la seule pause déjeuner.
Nous couvrons l’ensemble des avantages employés par le biais d’une super app, qui va en outre gérer l’ensemble de la vie sociale des collaborateurs et créer de la cohésion au sein de l’entreprise.
En chiffres, Swile c’est un peu plus de 400 collaborateurs au service de 13 000 entreprises clientes, réunissant plus de 400 000 utilisateurs.
Un marketing… mobile ?
ACC – Swile c’est effectivement une super app que l’on veut mettre dans la poche de tous les employés et qui va leur permettre de réinventer leur vie au travail.
Nous avons développé un marketing BtoB, qui s’adresse en priorité aux décideurs en entreprise, mais on croit également beaucoup au « bottom up », avec des utilisateurs qui recommandent le service auprès des décideurs.
Nous travaillons ainsi sur l’image de marque et des notions comme la proximité, l’expérience client ou encore l’innovation produit, afin que Swile soit réclamé quand un salarié change d’entreprise.
Quand un salarié a testé l’expérience Swile, il a vraiment envie de la retrouver dans sa nouvelle entreprise, et c’est là qu’il en parle aux décideurs et que l’effet boule de neige se crée.
Le Club du Marketing mobile ?
ACC – Je l’ai découvert grâce à Julie London, l’administratrice du Club au sein de La Mobile Marketing Association, qui est également la maman d’une amie de ma fille, ce qui prouve vraiment que le Club peut être utile à travers tous les moments de vie !
Ce Club , c’est un moment d’échange, de partage avec des membres issus de secteurs très différents, avec des expériences très différentes. On y trouve de l’inspiration, on se remet en question ou on se challenge aussi sur ses choix, ses méthodologies, ses chiffres. C’est vraiment un moment très riche en partage.
Qu’y avez vous appris ? Qu’y avez vous transmis ?
ACC – J’ai appris à avoir des référentiels sur des secteurs que je ne connaissais pas forcément. Il y a beaucoup d’e-commerçants issus de secteurs très différents du nôtre, qui permettent d’élargir le champ de connaissances des sujets.
Par exemple, on a discuté dernièrement de l’impact d’iOS 14.5 sur l’acquisition publicitaire et la perte de données. C’est très intéressant car ce sujet n’étant pas au cœur de notre stratégie, nous avons beaucoup à apprendre.
A l’inverse, j’essaye d’accompagner les membres lorsqu’ils ont des problématiques de branding pour définir une bonne création, construire un brief, choisir les bonnes agences et concevoir un bon médiaplanning, pour la diffusion de leurs contenus.
Un Club Human First ?
ACC – Oui, ce Club c’est à la fois des échanges très informels, lors d’apéros, et de séances de travail plus studieuses, avec la découverte de partenaires ou de prestataires.
Ce Club est avant tout très centré sur les besoins de chacun. Chacun participe à la construction des ordres du jour et les réunions sont très collaboratives.